Repérage de la Dyslexie Notre application vous posera les bonnes questions pour VOUS faire un avis

DysPlay
Selon l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé),
8 à 12% de la population mondiale présente une dyslexie ou des troubles de la constellation dys* (*) dysorthographie, dysgraphie, dyscalculie, dyspraxie, dysphasie.
40% des garçons dyslexiques ne sont pas dépistés
Le dépistage des adultes est inexistant… Passé l'enfance ou l'adolescence, il n'y a pratiquement plus aucune possibilité d'être dépisté
82% des filles dyslexiques ne sont pas dépistées

Puissance Dys vous propose un repérage et un dépistage gratuits pour tous, réalisable sur ce site ou sur vos appareils mobiles.

Nos applications Une application pour repérer et rééduquer la dyslexie

L’application DysPlay donne aux enfants, adolescents, aux parents et aux adultes concernés, accès à une rééducation ludique, attractive, pertinente qui est une alternative à la méthode traditionnelle, souvent longue et insuffisante.
Ces applications ont été volontairement conçues dans un esprit illogique, artistique, fantaisiste, qui permet à chacun de trouver un parcours de rééducation personnel et ludique.

2 applications sont proposées

Une application de repérage et de rééducation : DYSPLAY

Cette application gratuite permet de vous donner une idée de votre besoin en rééducation :

  • pour les Dys déjà détectés, aide à parfaire le diagnostic
  • pour les Dys non diagnostiqués

C’est aussi une application paramédicale de rééducation, avec trois versions :

  • Enfant (de 5 à 10 ans)
  • Adolescent (de 11 à 17 ans)
  • Adulte (à partir de 18 ans)
Une application de développement : RESONANCES

Développe la plasticité cérébrale, favorise la relaxation, aide à l'endormissement grâce aux enregistrements du Trafic Quintet de Solrey, prosodies de Béatrice Sauvageot et Xavier Forccioli, musiques d'Alexandre Desplat, Duhamel, Delerue

De la dyslexie à l'ambilexie

Le terme dyslexie porte en lui l'idée d'un « dysfonctionnement » et d'une « anomalie ». Or la majorité des « dyslexiques » présente une répartition neurologique différente des zones d'apprentissage de la lecture et de l'écriture.

L'analyse de nombreux textes de dyslexiques et de dysorthographiques a démontré qu'ils utilisent une langue neurologique dont l'apparente similitude avec notre langue cache une singularité, une perception, des associations d'idées, une poésie et une structure à part.

L'apprentissage de la langue « officielle » leur demande de devenir bilingue, de maîtriser un double lexique : celui de leur langue « naturelle » et celui de la langue « officielle ». Ainsi, le terme de « Bilexie » nous semble plus proche de la réalité des « dys ».

Notre expérience nous permet d'affirmer qu'il est possible de dépasser les difficultés d'apprentissage de la lecture et de la langue écrite d'une grande majorité de personnes déclarées « dyslexiques ». Il faut les aider à comprendre leur propre logique et travailler avec eux la plasticité des zones du cerveau concernées : ils sont « bilingues » ou plus exactement « ambilexes » !

C'est pour toutes ces raisons que nous préférons employer les termes "bilexiques" ou "ambilexes" plutôt que de continuer à perpétuer l'image de personnes atteintes de dysfonctionnements.

Non seulement ils ne dysfonctionnent pas, mais ils ont des qualités axtra-ordinaires qu'il s'agit de stimuler à la fois pour leur permettre de ne plus être « décalés » mais aussi pour qu'ils puissent profiter des leurs potentialités bien spécifiques.

Nous mettons en avant leurs qualités et souhaitons partager avec vous cette vision positive de leur personnalité.

Notre démarche est de changer le regard que nous portons sur les « langages » des dyslexiques. Là où certains ne voient que des fautes, nous avons trouvé une langue neurologique et linguistique à part entière, obéissant à une logique particulière propre à chaque dyslexique et à son regard sur le monde. Cette langue comporte une syntaxe, des règles de lecture ainsi que des fonctions linguistiques précises que nous avons pu expliciter et qui nous permettent aujourd'hui de faire la différence entre une personne dysorthographique et une personne qui n'a pas un bon niveau en orthographe.

Essayer la police Dys !

Le français officiel, équivaut in fine pour un « dys » à apprendre une langue étrangère ! Or comment apprendre une langue étrangère si l'on ne maîtrise pas l'organisation de sa langue naturelle ? On comprend dès lors toutes les difficultés d'apprentissage d'un dyslexique.

Témoignages